Chers amis, que dire de votre enthousiasme pour la saga, si ce n'est un grand Merci. Cependant, vous vous en doutez, beaucoup de questions du type : Pourquoi il est rude d'avoir des origines Belges ? Qui sera le prochain invité ? Feras-tu un article sur les poils longs ? Qu'est-ce que tu nous mijotes pour 2006 ? etc…

Mais la big question est la suivante : La saga verra-t'elle le jour en bouquin ? et la réponse est que l'on ne sait même jamais posé la question… Dans l'immédiat elle est chouchoutée par Jean-Jacques et le nombre de passionnés qui m'ont interpellé sur la mise en page avec des << quelle superbe entrée en matière >>, << la vache, c'est mieux qu'au théâtre ce soir >> ou << on se croirait au palace >> m'ont quelque peu gonflé. Et le contenu alors ? Faites gaffe, je suis un jaloux, non c'est pas vrai je déconne… J-J a fait un boulot d'enfer et franchement bien qu'il m'ait prévenu, quand j'ai vu son œuvre, j'en suis resté comme vous : bouche bée !

Du coup la boite aux lettres de << la chronique >> a implosé. Passons à l'ordre du jour.

Qu'est ce que tu prépares pour 2006 ?
•  Plein de trucs qui, je l'espère raviront les fans de sport canin. Qui plus est, je suis maintenant plus structuré dans la finition du travail. Afin d'être plus concentré, j'ai même abandonné quelques activités pour me consacrer au reportage << pleine gueule >>. Attendez-vous à du saignant pour 2006 !!!

Mais encore ?
•  Une méchante thèse sur le mordant pour Sans Laisse en plusieurs chapitres. Beaucoup de choses sont actuellement à l'étude sur ce thème et avant que ça parte live… il s'agit de bien restructurer le truc sur un terrain. Rien que le mot << mordant >> fout la trouille. Du coup, on entend tout et rien sur le sujet. Il est vrai que pour un pratiquant, ça coule de source. Mais, pour un non initié ? Alors, avant qu'une tête pensante nous formule une équation à 3 inconnues, un chouya d'explications, ça ne fait pas de mal. J'espère qu'au moins, les personnes cynos ou non prendront plaisir à lire les 3 actes et surtout : qu'il y aura matière à un débat intelligent.

Et puis ?
•  Avec J-J on planche << sur l'interview du mois >>. En double référence au mois << date >> et au moi << psy >>. Par exemple, des questions diverses basées sur la motivation, des sensations ou des émotions. Le truc est à l'étude, ça peut être cool. Sinon, pour le Berger Belge, Pierre Rouillon m'avait demandé de travailler sur un projet << inspiré >> du dico. J'ai bien dégrossi le truc, ça s'appelle << le Berger Belge & ses Champions >>. Le but est de regrouper << travail & beauté >>, le tout demande une bonne finalisation. Enfin, j'ai une autre rubrique en tête, mais je la garde pour chienplus, car elle ira en complément de la saga.

Tu fais souvent référence à la finition d'un article, est-ce si difficile ?
•  Absolument, un bon article nécessite plusieurs personnes. Au delà du style de l'auteur, la relecture, l'illustration et la mise en page sont déterminantes. Si tout est bien coordonné, le lecteur prendra du plaisir et c'est cool. En ce qui me concerne, j'écris à l'inspiration et je ne relie que rarement un texte. Je pars du principe que ce que j'ai vécu dans un reportage doit être décrit comme je l'ai ressenti sur l'instant. Je repense l'action, je balance la correction rapide et hop j'envoie. Imagine après : le boulot de l'équipe (rires)…

Et pour le Dico ?
•  Pareil, j'ai vu telle situation, tel chien ou telle personne à tel endroit, le ou la m'avait interpellé par une prouesse et paf… Je décris le passage comme je l'ai vécu et j'envoie immédiatement mon texte à la rédac… ça sort du cœur et c'est ce qu'il y a de mieux, je trouve. Bien sûr parfois, tout est bien, mais parfois aïe ! Il faut une correction grammaticale et sans toucher au style, ça demande un ou une artiste aux manettes. Personne ne fait rien tout seul et même si c'est ton nom au bas de la page, c'est la réalisation de toute une équipe qu'il faut féliciter.

Qu'est ce que les cynos préfèrent dans un article ?
•  Très bonne question, il faudrait peut-être leur demander directement par un petit questionnaire. Mais, je pense les interviews en 1, les vieilles photos en 2 et j'ose espérer le texte (rires).

Quel est le meilleur compliment de la saga ?
• Quand on m'a demandé d'approfondir l'historique. Pourtant un bon gros historique, c'est lourd à digérer. Alors quand on te réclame du rab… tu exécutes ! En plus, J-J m'avait sollicité sur un point précis : Comment les sports canins avaient débuté. De son côté il enquêtait depuis longtemps et du mien j'avais du matos, nous avons donc pu étaler tout ça sans bousiller l'axe central. Un gars nous a même écrit que l'on pouvait être Belge, élever des Malinois et encore apprendre des choses. C'est le genre de truc qui touche et qui te donne envie d'être meilleur !

Est-ce que tu vas faire un article sur les poils longs ?
•  J'essaierai quand même de faire plus qu'un article. Beaucoup de nounours ont marqué la cyno utilitaire et il serait bon d'expliquer le retour du Groenendael, les lignées Tervur béton et que dire du Laekennois ? Il y en a peu, mais ils valent le coup… Donc on va s'occuper de leur cas !

Pourquoi est-il si difficile de connaître les origines des grands Malinois ?
•  En fait ça dépend d'où le Malinois est issu. Pour la France , il faut se renseigner à droite à gauche ou téléphoner au CFCBB. Le Club Frenchie du Belge va t'envoyer chez quelqu'un qui sait. Pour la Belgique , c'est plus chaud, car il y a plusieurs fédés, pour le Kennel ou la St Hubert ça va, mais pour le NVBK, il faut vraiment être très impliqué. Nous sommes énormément sollicité sur les origines et avec Jean-Jacques on va réfléchir sur un répertoire alphabétique, qui est d'ailleurs prévu dans la saga. Comme ça, la personne qui cherchera les grandes lignes d'un pedigree l'aura immédiatement.

Pourquoi le Malinois fut rapidement si populaire ?
•  Heu… populaire en Belgique, parce qu'en France et vous le découvrirez prochainement, l'ascension fut longue et ardue.

Pourquoi ?
•  D'une part car la France a ses propres Bergers Français et d'autre part l'in détrônable BA était pratiquement imbattable sur notre territoire. Toute proportion gardée, on note quand même 11 BA pour 21 concurrents en 78 et 9 sur 15 en 79. Certes nous sommes en Ring, mais si l'on analyse le Campagne, le BA est resté encore plus longtemps le roi. Ce qui est intéressant sur l'exploit du Malinois, c'est qu'il y en avait peu, mais d'excellents.

Qu'elle est la différence entre un Malinois 100% belge et celui né en France ?
•  En fait, son atavisme joue énormément. Le Ring sport Belge compte le mordant avec un barème de prise en gueule. Le Ring Français décompte le mordant, j'entends par là << surtout pas de tarde à lâcher >>. Les cultures sont donc en opposition, voilà pourquoi certains gros mordeurs belges sont encore employés chez nous. Il serait hypocrite de dire qu'en France on se suffit par nous mêmes. Les racines sont obligatoires et je revois encore des gars affirmer qu'ils préfèrent nos bonnes vieilles lignées Frenchies et deux ans après les retrouver avec un petit fils de Kim ou un cons Bibber.

Un novice peut-il pratiquer avec un Malinois Belge ?
•  Bien sûr, il suffit de le débourrer avec un bon H-A ( comme n'importe quel chien d'ailleurs ). Là encore, les cultures sont différentes. Le travail belge est non seulement axé sur la prise, mais également sur l'artifice avec en conclusion, forte pénétration, prise poussée et qui plus est puissante. La France développe d'avantage la combativité dans la saisie, bâton, changement de jambe etc… Voilà pourquoi dès le départ, il faut bien connaître les origines et se renseigner, car même au niveau de l'Ob et des sauts on peut être surpris… après, c'est une histoire de goût.

C'est vrai que la saga intéresse de plus en plus d'étrangers ?
•  Oui c'est exact, mais il faudrait la traduire par nous même, car signer un texte que tu ne peux pas relire, c'est dommage non ? C'est vrai que c'est chiant de refuser à quelqu'un ce type de projet, mais bon t'imagine << si le mec s'emmêle les pinceaux >>… Et puis, un passionné va toujours trouver le moyen d'avoir un pote pour lui traduire. Il ne reste qu'à télécharger le texte ou le faire télécharger, si le gars est vraiment intéressé… il fera l'effort.

D'ailleurs pourquoi cette formule ?
•  Parce qu'elle est simple.

Mais encore ?
•  En fait je me suis mis à la place d'un cyno tout bonnement. En plus il n'y a pas que des riches et du coup cette source d'information peut s'avérer utile pour tous. Le ou la personne glisse ses feuilles dans l'imprimante, récolte l'article, le pose dans un coin et de ce fait il ou elle peut le lire pénard. C'est cool comme formule, tu attends le moment propice, au calme, tranquille et voilà… Il y a même un pote qui l'examine exclusivement aux toilettes, j'espère qu'il s'en sert à bon escient ( rires ) !

Tu as commencé la suite ?
• Absolument, j'ai même pris beaucoup d'avance dans les textes. J'attends d'autres infos pour approfondir deux ou trois paragraphes et surtout vérifier la véracité de mes propos.

Qu'est ce qui est le plus difficile ?
•  L'histoire, les dates, les pointages et trouver de bonnes illustrations. Heureusement qu'avant de me lancer dans l'aventure, j'étais paré… Car si tu n'as pas de repère dès le départ, c'est l'enfer à tout coordonner. Le reste appartient au style, les textes plaisent ou non. Un auteur tu l'aimes ou tu le subis et pour revenir à une autre question, en ce qui me concerne, mes textes sont déjà difficiles à comprendre pour les correcteurs, imagine à l'étranger ( rires ).

Cela doit être plus difficile de passer d'une chronique à un travail plus sérieux ?
•  Au sens propre du terme << sérieux >> pas souvent ! En plus pour écrire un truc comme la saga, il ne le faut surtout pas, il faut être méthodique, précis et bigrement organisé. En fait, tout ce que je ne suis pas ( rires ). Je plaisante bien sûr, mais le mot sérieux fait un peu pompeux. Au delà de tout, il faut surtout être inspiré et aimer la race que tu défends au plus profond de tes tripes. Il ne faut leurrer personne, un cyno qui va prendre le temps de lire un article va immédiatement détecter << un charlot >> d'un mec qui maîtrise son sujet et qui sait le faire partager.

Tu peux nous dire << quoi >> de la saga 3 ?
•  Il y aura une nouvelle aventure avec je l'espère une interview d'une personnalité. J'étais chez André Noël dernièrement, car il écrit un livre de son côté et nous avons longuement parlé. J'ai lu son bouquin et je lui ai administré une tonne cinq de questions et comme nous sommes tous les 2 des bavards impénitents… Je suis rentré vachement tard ( rires ). Outre l'amitié que je lui porte, j'adorerai faire un article avec lui, car sa culture cynophile ne s'arrête pas qu'à la France. Imagine , il maîtrise tous les programmes européens et naturellement les chiens qui vont avec ! On ne peut pas laisser passer une telle opportunité et puis André est un philosophe, c'est important de l'entendre. Quand nous entrerons au début 80, vous réaliserez son importance.

D'ailleurs, nous faisons souvent référence au Malinois dans les années 80, mais en 70, il y avait déjà de grands chiens non ?
•  Oui tout a fait, mais il y avait un gros manque d'atavisme. Fort heureusement, nos programmes n'étaient pas aussi pointus, donc les vraies machines de guerre pouvaient parfaitement s'illustrer. Voilà pourquoi un mec qui ramenait un chien belge avait immédiatement un étalon potentiel.

Pourquoi ?
•  Parce que les Belges avaient déjà des lignées d'utilisation établies et bougrement fonctionnelles. Si tu relies attentivement la saga, tu t'aperçois qu'un noyau de personnes avait repéré l'étonnante disponibilité du Malinois dans différents types de travail. Il est donc logique que la France ait récupéré de sérieux éléments.

Pourtant beaucoup affirmaient que le Malinois était électrique à l'époque ?
•  Evidemment, ils n'étaient pas tous bons et puis il y a les courants de sang qui font que ! Certains éleveurs français ne maîtrisaient qu'une partie des origines, donc essaye de construire une maison qu'avec la moitié des plans !!! Il ne faut pas se voiler la face, les anciens ont dû tomber la chemise. Il faut savoir que le titre d'étalon ne se décernait que sur le terrain et face à un Apache enragé. D'ailleurs les grands éleveurs de l'époque ont eu une clairvoyance inouïe, car ce sont eux qui ont fait éclater les qualités de l'athlète, ne l'oublions pas. Voila pourquoi, un travail de mémoire comme la saga est primordiale. Mais bon, devant les aventures d'un Vass, d'un Urgo ou d'un Xjelaba tu ne pouvais pas trop évoquer le mot sensibilité ou peut-être dans ton cas face à Chéribibi (rires).

Tu penses que nous n'en serions pas là sans un grand suivi d'élevage ?
•  C'est clair que sans Mrs Destailleurs, Noël, Casanova, Beyer, Thibault et Charbonnel nous serions à la ramasse. Au-delà d'une production chirurgicale, ils ont structuré une chape sur laquelle tout éleveur possédant une bonne lice de base peut s'appuyer et ça, ce n'est pas rien croyez-moi !

Que penses-tu de l'élevage du Malinois en France et en 2006 ?
•  Nous sommes trop à élever. Il y a 3600 naissances de Malinois et c'est énorme. C'est vrai qu'il y a des élevages qui produisent régulièrement et bien, d'autres peu et mal. Mais il y a l'inverse… Un juste milieu serait souhaitable ! L'élevage d'un chien destiné au travail se doit d'être raisonnable, d'échapper à l'effet de mode et surtout d'être fonctionnel dans sa spécificité. Rappelez-vous, il n'y a pas si longtemps tout le monde était en admiration devant les beaux yeux des chiens de traîneaux, mais qui les comprenaient vraiment ? Les musher's ou les producteurs ? vaste débat !

Il y a quand même un monde entre ces deux races ?
•  OK, mais il n'y a pas l'air glacière quand même. Prenons le Border, lui aussi devient le king de différents programmes, pourquoi ? Parce que quasi imbattable dans la sienne. L'adaptabilité de certains chiens font que justement nous devons la sauvegarder et la développer, mais en aucun cas la disperser. Un atavisme c'est précieux, il faut savoir que certaines nations refusent un accouplement si le contexte génétique fait que les experts n'approuvent pas ! En France nous avons la chance de pouvoir bosser avec nos propres idées, au moins ayons la décence de travailler avec force et conviction.

Si je te suis bien, l'élevage est un sacerdoce ?
•  Pour élever des futurs champions dans un domaine aussi pointu que les sports canins, il ne faut rien prendre par-dessus la jambe. L'implication pour construire une famille, trouver les étalons, avoir une lignée d'appui, éliminer les tares ou tout simplement bien connaître ton travail, c'est le minimum. La dilution de grands courants de sang, les mariages hasardeux et le chien du copain sont à proscrire. L'élevage et les sentiments ne sont pas compatibles, seul le respect de la race compte. Si tu n'es pas prêt à ça, ne fait pas de Malinois !

C'est bien sévère tout ça ?
•  Le Malinois a été créé par des gens forts pour des gens forts et si à notre époque, il y a 95 % de Malinois dans les programmes à caractère, c'est qu'il y a une raison, non ?

Et les autres races ?
•  Bien que j'en aie étudié pas mal pour le dico, je ne sais quoi répondre. Se concentrer sur la sienne avant de parler de celle des autres me parait censé. Du coup, je ne suis pas compétent à 100 %, il faudrait poser la question à chaque spécialiste, ce débat serait bigrement intéressant. Il faudrait établir un forum, ça serait super cool même…

Alors le dico, puisque l'on en parle. Tu en es où ?
•  Ca bosse à donf. Toute l'équipe est au taquet et le bouclage des L est imminent. D'ailleurs Alain veut que l'on accélère le mouvement, car actuellement nous travaillons sur un complément.

Ce sont les fameux portraits croisés ?
•  Oui c'est ça. Les premiers messages (des lecteurs) ont été super sympas. Cela fait plaisir, car j'avais la trouille. Je me disais : mince si ça ne plait pas, que vais-je devenir ? Donc on persiste et croyez-moi, cette rubrique va déchirer, les prochains sont d'enfer !! Au juste, petite précision sur les portraits, car la dernière question "définition d'affixe" m'a été soufflée par Gilbert et donc cette question en interview s' appelle la question Guevel. Les premières interviews étaient super drôles, car je demandais aux personnalités. C'est presque terminé, il ne reste plus que la question Guevel !! Maintenant vous savez, ne soyez plus étonnés. N' empêche que l' idée est géniale. Il est fort l'ami Gilbert!!!

Et pour chienplus ?
•  La saga bien sûr et puis les autres rubriques, dont la fameuse interview du mois. J'ai demandé un gros coup de main à Jean-Jacques pour le prochain sujet, il est dessus actuellement. Article qui reste quand même englobé dans << le BB un athlète pas comme les autres >> et nous espérons que les aficionados apprécieront, car ce sera le premier de pleins d'autres !

A+ Jean-mimi - Pour toute nouvelle question : jm.vedrenne@wanadoo.fr

Chers amis, après avoir ouvert ma boite Mail au pied de biche, je ne peux que vous remercier pour vos encouragements et donc, un récapitulatif sur les exploits du Berger Belge est en train de prendre forme. Encore un peu de patience, c'est pour bientôt ! Naturellement, le sujet est vaste, prolifique et fertile. Afin, de vous éclairer sur le chapitre. Voila des réponses à quelques interrogations :

Alors, c'est vrai, tu écris enfin un historique sur le Malinois ?
•  Absolument. J'ai débité le plus gros au merlin. En ce moment, je suis dans la finition… D'ailleurs, la première partie est presque terminée. Elle englobe la genèse et finit en 1970, peut être un peu plus " faut voir ".
Comment ça marche ?
•  En fait plusieurs parties dans le même sujet. L'idée maîtresse n'est pas exclusive au Malinois, puisque le titre se nomme " le Berger Belge, un athlète pas comme les autres ". Ce qui comporte : La saga du Malinois, Analyse et révision de nos lignées utilisation, Portrait d'un grand et classification des variétés. En fait, la personne qui cherchera n'importe quelle type d'information " historique ", " lignée " ou " photographie " trouvera son bonheur.
Des origines seront-elles proposées ?
•  Oui, sous forme d'un répertoire, la personne qui recherche une origine célèbre la trouvera rapido. Cette idée est à mon avis très intéressante, car elle n'empêche pas les autres races d'imiter ma banque de données. Le tout, est de demander la permission à Jean-Jacques.
Tu n'as pas de regret à diffuser tes archives ?
•  Non, car l'information est universelle. Il y a des pays qui piétinent, non pas " par manque de talent ", mais par manque d'infos. C'est bien de leur filer un coup de main et puis, il y a les débutants " qui sont la relève "… Ne l'oublions pas ! Si d'autres passionnés voulaient fournir leurs notes sur le BA, le Dob, Rott etc… Ce serait génial, mais attention, il faut travailler avec des gars pointus et la difficulté est toujours dans la précision. Ici , le " moi-je " est proscrit. Il ne faut étudier que les faits, rien que les faits…
Pour quand ?
•  Je vais envoyer, les premières épreuves à Jean-Jacques cette semaine. Il va les étudier, puis il décidera de la date, même s il n'aime pas ce titre, c'est lui le grand patron.
Donnes-nous plus de détails sur la Saga du Malinois !
•  En prems " l'historique ", mais version courte, car l'étude se concentre surtout sur le Malinois et la compétition.
Tu n'as pas accentué l'historique ?
•  Non, car pour les Archéologues, il y a le Van Coeuleubroeck qui est imbattable et bougrement impressionnant. Le Varlet est également très explicite tout en étant plus actuel. Ces deux ouvrages sont maintenant des références et il est inutile de répéter ce qui a déjà été dit. Il est à mon avis plus intéressant de regrouper des événements précis, des dates clés et des chiens célèbres. Bien sûr, suivra, l'ensemble des finales importantes à l'échelle Européenne. Les grandes épreuves, les débuts des grands tournois tel " le petit Wasels illustré " ou le " Destailleur en couleur ", pourquoi & comment ceci et cela ? Comme tu t'en doutes il y eut beaucoup de questions, suite à la nouvelle " chronique ", donc l'approfondissement de certain mystère était inévitable et puis, il y aura une rubrique sur : Les étalons marquants, des interviews de célébrités, des photos persos, inédites, etc...
Tu as une base pour illustrer tes textes ?
•  Oui, d'ailleurs et dès que j'ai terminé le travail en cours. Je vais bosser sur une planche de la dernière nationale d'élevage façon BD. J'en ai parlé autour de moi, on m'a affirmé que c'était une bonne idée.
Cela compte pour toi l'avis des autres ?
•  Enormément, car si tu te donnes corps et âme pour un truc qui emmerde tout le monde, je ne vois pas l'intérêt ( rires ). Mon premier et grand critique, c'est l'amour de ma vie. Elle n'est pas du tout cyno, donc son regard est directe et hum… implacable.
Tu gardes quand même la Chronique ?
•  Si Jean-Jacques est d'accord bien sûr, j'ai reçu pas mal de mail. Cette rubrique peut servir de boite à lettres pour les questions diverses, la preuve.
Pourquoi ne pas écrire carrément un bouquin ?
•  Dans l'immédiat non, car le Dico me prend beaucoup de temps. Ecrire une rubrique comme la Saga, c'est un peu comme une récréation et c'est surtout super passionnant. Tu rencontres de vrais passionnés, des anciens, des fans etc… Tu prends des notes, tu les couches sur papier et tu en fais profiter tout le monde. C'est ce qui est formidable avec internet. Mais, il ne faut pas perdre de vue que ton cerveau doit fonctionner sans arrêt et pour éviter qu'il explose, il vaut mieux se concentrer sur quelques objectifs et les faire bien. Croyez-moi, de passer de période en période en englobant l'essentiel des disciplines, c'est du boulot. Ecrire sur le Berger Belge devient alors plus ciblé et puis c'est un vieux rêve, Jean-Jacques m'offre cette possibilité et c'est cool.
Peut être un jour ?
•  Pourquoi pas, mais quand l'ensemble sera regroupé " il y aura pas mal de matos ". Qui plus est à la portée de tous. Un ptit clic et hop ! Si après ça : " les mordus du mordant " réclament encore un bouquin, je reprendrai ma hache pour les satisfaire !!!

CHALLENGE DESTAILLEUR.

Enfin de retour pour le deuxième épisode. Nous allons évoquer cette fois, le second Grand Prix qui dessoude... Aussi effervescent que notre bon vieux Ring, le CH Léon Destailleur est le tournoi qu'il ne faut rater sous aucun prétexte. Ici point de mot du docteur ou de belle mère malade : Allez hop ! Tout le monde au charbon et croyez-moi, cette année : une troupe d'aficionados férus d'artifice, de sport extrême et naturellement de Berger Belge se sont donnés rendez-vous « histoire d'en découdre à grand coup de banderole dans les babines « !!! Mais, si vous le voulez bien : revenons quelque peu en arrière et marchons tous ensemble dans la grotte… Au début des années 80, il était de bonne guerre d'évaluer les programmes. Attention, il faut prendre le mot « évaluer « en tant que « modèle » et non en tant que « comparaison ». En effet il serait aussi stupide de comparer le Ring Belge au Ring Français , que de comparer le foot au rugby ou le Karaté à la Lutte ! Non, point de cela, une réunification basée sur un ensemble d'exercices européens devait donner naissance au Mondioring. D'ailleurs, le Mondio comme il était pratiqué en 1987 était vraiment coriace (et promis, nous travaillons sur un concept des divers programmes qui devrait ravir les amateurs de sensation forte). Recherche d'objet, sauts, plat cossu et de bonnes attaques « à la banzaï-kamikaze « avec artifice et hum… un gros bâton », qui malheureusement un jour fut donné à un Hollandais ! AÏE - L'opposition néerlandaise étant en franche comparaison avec une droite de Mike Tyson et donc avant que nos apaches se transforment en machine à découper le jambon, le bâtonnage « façon Cro-Magnon » fut proscrit. Snif, nous avons tous chialé comme des madeleines ce jour là, car avouez qu'enlever le bâton à un Frenchie débouche inévitablement sur une castration aux coupe-boulons !!!  Néanmoins, afin que personne ne sombre dans la dépression, nos têtes pensantes déclarèrent que nous garderons le bambou, mais avec interdiction formelle de toucher les kikis (même tout doucement). Ce qui provoque parfois… quelques crises de rires mémorables quand on refile le doux instrument à un Ringueur !!! N'empêche qu'un nouveau programme se formatera en Décembre 1990 et prendra forme sous l'appellation « Mondioring ». Puis le 6 Février et en France SVP, il y aura une adoption par tous les pays pratiquants.

Il faut savoir qu'avant 1995, point de Championnat Mondial. Il s'agissait en fait de « tournoi international », c'est sous cette appellation que le premier se déroulera en 87 à Tournai et que le dernier fut pratiqué le 8 & 9 Octobre 94 à Arandonk. Les performers l'auront deviné, le prem's et le der furent en Belgique « artifice quand tu nous tiens » !!! Cette décision va nous parachuter à Colmar directement en 1995, pour le premier championnat du monde homologué comme tel. Mais, cette discipline ne fait que peu d'émules chez nos bâtonneurs de lilas et les Frenchie's boudent « gamelles & bidons en prétextant « qu'il n'y a point de bambou qui claque » et que de ce fait « on s'emmerde un peu et même vachement ». Le salut viendra de nos fiers Campagnards qui eux ne reculent devant rien ! Et vaille que vaille, nous voici en 1999 à Macau pour le premier championnat de France de Mondioring. Grâce à lui, ça envoie grave et depuis, tout le monde est content !!!!

Mais le Challenge Destailleur dans tout ça, vous allez me répondre ?

Nous y voila… Lors d'un Wasels historique et n'ayons pas peur des mots « anthologique ». Le boy's band de l'époque Mrs «Varlet-Rouillon-Duplan » nous avait concocté un tournoi FANTASTIQUE qui devait se dérouler dans un superbe Vélodrome aux abords d'Orléans. C'est donc un week-end chargé à la chevrotine et en émotion, qui allait attendre les fans de B-B avec une grande nouveauté : Un tournoi de Mondio intégré dans la journée du Samedi. Deux apaches véritablement rompus aux artifices comme André Holzer et Nicolas Boutier vont en mettre plein les mirettes à Fengio des Mouïses de Bel Air qui officiait en Chien en Blanc ; Yes man à l'époque le juge ouvrait les hostilités et ce jour-là, Bernard Lichtlé nous a offert une démonstration de chez parfait ! Devant, les acclamations des spectateurs, nos ringueurs rappliquèrent au triple galop et du même coup, «voila t'y pas » que nos obsessionnels du pointage découvrent un autre style de mordant !!! Le Mondio à la Nationale Berger Belge allait prendre vie. Ce concours fut génial de bout en bout avec un Daniel Boulais en pleine forme, un Laurent Gicquel éblouissant et un Gilbert Guevel grandiose. Qui plus est, ce Tournoi révélera un autre bon ptit gars, car sur la première marche du podium nous applaudirons un futur grand Monsieur du Chien en la personne d'Hervé Mavuanga. Août 1997 restera marqué dans toutes les mémoires comme la date qui lancera ce Grand Prix, car depuis le Mondioring fait partie intégrante des journées «le bonheur et dans le pré chez les masqués ». Nous n'avions plus qu'à baptiser l'événement, afin que la tradition perdure. C'est ainsi qu'en pleine réunion de la Commission d'utilisation du Berger Belge, qu'un vote eut lieu, donnant Léon Destailleur à l'unanimité comme référence absolue en matière de réunification des programmes. En effet, qui mieux que Léon Destailleur peut se targuer de connaître l'ensemble des disciplines ? Cet homme a pratiquement tout fait et tout vécu. Il a dressé en France et en Belgique. D'une part sa place géographique le poussait à visiter les deux nations et d'autre part son immense talent faisait qu'il était demandé partout ! Vous l'aurez compris nous avons à faire à l'un de plus grand cynophile de tous les temps. Dresseur exceptionnel, Homme d'attaque époustouflant, éleveur de génie et l'homme que dire de cet homme ? Les personnes qui le connaissent savent de qui je parle tant ce Monsieur est merveilleux. J'ai eu l'immense honneur de le rencontrer à Hoboken, lors d'un concours NVBK. La journée lui appartenait, car le club lui rendait hommage et quel hommage ! Ses techniques sont toutes «cas d'école » et bien souvent nos jeunes mettent en place leurs athlètes sans savoir que c'est le roi Léon qui est à la base du processus eh oui les gars ! Par exemple le mordant aux jambes c'est lui, l'en-avant bloqué à la planche également, sans oublier ses fameux barrages et autres diableries dont il avait le secret. Il a tellement inventé de systèmes et de techniques qu'il me faudrait tout un portrait rien que pour lui. Voilà qui était Léon Destailleur, quelqu'un à qui l'on doit beaucoup ne serait-ce que pour nous avoir amené un chien à tête noire appelé MALINOIS ! D'ailleurs, si vous allez vous balader prochainement du côté de Grande Synthe, vous découvrirez un bien beau stade, c'est sûr !!!

Jean-Mimi : alors cette rencontre ?
Mortelle. Un parcours super. Deux Apaches monstrueux. Un jugement au cordeau et des furieux adeptes, rien que du bonheur.

Du bon dans toutes les catégories ?
Absolument. D'abord, les échelons furent respectés à l'exercice prêt avec un départ classique, un bon 2 et un 3 digne d'un Grand Prix. Je n'ai malheureusement pas vu tous les amateurs, mais Alexandra & Orca vraiment Top. Chez les confirmés, j'ai adoré Starko et d'ailleurs je ne suis pas le seul, car Fred (Matuzak) m'en a dit grand bien. Enfin en 3, je suis un fan et depuis le premier jour de Santana, donc j'étais là pour encourager cette équipe. Mais Antonio Gaborit a assuré comme un chef et c'est drôle, car à ses débuts, il jouait contre moi. On s'est toujours tiré la bourre en pote, mais le bougre engendrait des points et la preuve, puisqu'il gagne le trophée aujourd'hui. Sinon Rony et Nicky bien sûr et le petit nouveau Tzigane qui vous verrez fera parler de lui. En plus, Christian Cabenet conduit deux Malinois, dont 1 au championnat du Monde dès sa première année de compet, comme dirait l'autre «y a pas photo ». En plus, l'esprit est là, c'est chouette de pouvoir dialoguer avec des gars qui parlent Mondio - quand c'est de l'artifice et Ring quand c'est l'heure. C'est important de le souligner.

Jean-Mimi : Comment tu fais, pour couvrir l'événement ?
J'me téléporte (rires). Je plaisante, les terrains sont côte à côte et je prends note du tirage au sort. Ce qui fait que j'ai mes préférés et ce n'est pas bien (rires). Sérieusement, je trouve toujours deux ou trois copains qui m'envoient une cassette, du coup… Je relis mes notes et je complète avec le film. J'ai un dictaphone aussi, car je préfère travailler à chaud, surtout si l'action est belle.

Jean-Mimi : Quelles sont-elles, ces belles actions ?
En 3, la face avec artifice était flipante. Un bon baquet pleine bouche, quand tu déboules, ça calme. Il y eu du freinage, mais pas tant que ça en fait. La défense était chiadée, surtout sur l'agression assise et enfin la valise avec le pulvérisateur.

Jean-Mimi : Et le climat ?
Top, en plus le juge a scindé le parcours en 2. Ce qui a rendu le circuit nettement plus équitable. Les chiens n'ont pas souffert de la chaleur et puis ils ont eu droit à une bonne douche, hé hé. Allez, pour un mois d'août, on ne va pas se plaindre. D'ailleurs, j'ai eu juste le temps de croiser Michel Rivière qui solidement armé de son flegme légendaire a accepté de répondre à quelques questions, les voici :

Jean-Mimi : Mr le juge, votre impression sur ce challenge Destailleur ?
J'ai ressenti une merveilleuse impression et j'espère que tout le monde a profité de ce week-end. Je tiens d'ailleurs à féliciter toute mon équipe avec un petit plus pour les H-A : Mr Matuzak, dont je viens d'apprendre qu'il arrêtait le costume en compétition et c'est bien dommage vu son potentiel. Puis Mr Dimano qui bien que plus jeune a parfaitement assimilé ce que j'attendais de lui. Nos deux H-A ont réalisé un gros concours, j'en suis heureux !

Jean-Mimi : D'ailleurs, vous aviez tracé un gros concours, non ?
En tout cas digne d'un Challenge Destailleur. Le circuit était ludique, sans difficulté incontournable. Les exercices étaient clairs, mais il fallait gratter à chaque fois en plus. Je l'ai signalé à la remise des prix « j'ai eu un poisson cannibale » qui a mangé des points, voire la totalité pour certains. J'en fus très surpris, car il semblait anodin. La preuve qu'un leurre en latex, ça peut faire des dégâts (rire) !

Jean-Mimi : Que pensez-vous de l'ensemble des concurrents ?
Bon niveau, même si le premier n'obtient qu'un 330, on s'aperçoit que les 10 suivants se tiennent. Les concurrents sont dans un pointage serré, donc homogène et de bonne qualité.

Jean-Mimi : Avez-vous noté une différence entre les variétés ?
Les Malinois sont forts, mais franchement, la Laekennoise m'a vraiment plu. Je l'ai trouvée très avenante, très déterminée et au niveau du Challenge de cœur « c'est à elle que je donnerai la coupe ». D'ailleurs, il y avait beaucoup de femelles, ce qui est plutôt bon signe.

Jean-Mimi : Vous êtes sensible sur le fait que des éleveurs fassent travailler leurs lices ?
Absolument, car en ce qui me concerne, j'ai toujours choisi mes chiens en fonction de la femelle. Elles portent les petits, puis les élèvent et je reste persuadé que le fond et le caractère s'affirme déjà. D'ailleurs quand on discute avec les concurrents, toutes disciplines & tous échelons confondus, on parle de l'étalon et jamais de la femelle, c'est automatique et c'est aussi une erreur. Je le regrette profondément, ainsi quand j'évoque les ascendants de mon chien… J'annonce Vida du Champ de la Reppe qui a quand même donné Flambeau et qui est à la base de ma lignée. Naturellement, il faut trouver le mâle qui va avec, mais la lice est d'une importance cruciale !

( NOTA : chers amis, le BA de Mr Rivière fut le seul chien non Belge à officier comme chien en blanc à notre nationale d'élevage, ce qui n'est pas rien ).

Jean-Mimi : Au niveau des épreuves, nous avons eu un découpage « façon finale » moitié samedi & moitié dimanche. Vous êtes pour ou contre cette formule ?
Quand on ne peut pas passer tous les concurrents dans la journée, je suis favorable, car cela évite tricherie et polémique. Par exemple mon poisson carnassier aurait été moins méchant pour les concurrents du dimanche (rires) !

Jean-Mimi : Puisque l'on évoque les polémiques, il y en a une sérieuse au niveau des «concours obligatoires ». Qu'en pensez-vous ?
Il faut dans un premier temps voir le développement, car c'est vrai que le départ de ces fameux concours m'a «un peu gêné au départ » puisqu'il y a eu 4 concours avec 4 jugements différents. J'étais d'ailleurs juge d'un de ces concours et c'est encore vrai qu'en fonction de l'esprit du juge, H-A et éventuellement de l'endroit où cela se passe, il peut y avoir des interférences. Par exemple le Nord et l'Est avaient des résultats avoisinant les 330 points de moyenne, alors que le Sud était plus découpé. Je ne prétend pas que, la différence de pointage est dûe exclusivement au jugement, il y a bien entendu d'innombrables facteurs qui rentrent en cause. Mais bon, il faut quand même se poser des questions dans le but de trouver un concept le plus complet possible. Donc, l'année prochaine, il y a fort à parier qu'un jury tournant sera mis en place, mais attention : rien n'est encore défini.

Jean-Mimi : Alors, la question que je me pose est, va-t-il y avoir des concurrents en 2006 ?
C'est la question, que beaucoup de monde se pose, car si une tournée est proposée pour 30 candidats, ça va faire juste.

Jean-Mimi : Il y a aussi, le problème argent. Est-ce un handicap ?
Peut-être, mais pas spécialement. J'ai vu des candidats à Paris qui venaient de loin et puis, quand ils ont vu une possibilité de finale, ils ont continué.

Jean-Mimi : J'ai l'impression, que le Mondio imite de plus en plus le ring. Qu'en pensez-vous ?
Je ne pense pas, en tous cas, il ne faut pas singer une discipline. Quand, il y a des bonnes choses, il faut les prendre, sans toucher à l'intégrité du programme. Exemple, ce n'est pas parce qu tel exercice est en ring, qu'il faut le copier et je rajouterai «surtout pas ». Si l'on se réfère au jury tournant, ce n'est que dans un critère de régularité. Il faut garder la même optique et surtout la même échelle de jugement. Naturellement, il faudra en débattre, afin de réaliser une équivalence et partir sur des bases précises.

Jean-Mimi : Et bien merci Mr Rivière. Nous attendons avec impatience la réunion de vendredi, histoire de voir plus clair. Le Mondioring prend un virage à 180° et il ne faudrait pas qu'il nous file le tournis. Pour cela, les animateurs régionaux et les concurrents vont en discuter durant la finale de Grande Synthe et comme le stipule le fameux dicton « qui vivra verra » !!!!

Prochainement - Suite à l'épisode 3

CHALLENGE FRANCOIS WASELS

NATIONALE D'ELEVAGE BELGE (une foi).